Ascendance matrilinéaire de Marie-Claire Delorme alias Claircée Séguin


Marie Claire Delorme est née le 13 octobre 1839 et a été baptisée le 19 octobre 1839, à Saint-André d'Argenteuil, sous le nom de Marie-Claire Lemay. Tout au long de sa vie elle utilise le prénom Claircée. Au cours de l'été de 1861, Claircée ainsi que sa sœur Sarah quittent Saint-André d'Argenteuil pour aller rejoindre leur tante Marie-Rose Larocque. Claircée épouse Jean Noël Séguin dit Ladéroute, fils de François-Xavier Séguin et Scholastique Servant, le 28  août 1861 à Saint-François-de-Sales de Pointe-Gatineau.

Claircée Delorme donne naissance à 10 enfants en 21 ans. Lorsque son époux Jean Noël décède le 3 septembre 1883, elle a un enfant âgé d'à peine de 7 mois. Elle va opérer un traversier entre Pointe-Gatineau et Rockliffe. Claircée est secondée par son fils David dans l'exploitation du traversier. David va prendre la relève et opère le traversier pendant plus de 20 ans. Claircée connue sous le nom de la veuve Claircée Séguin décède le 20 juillet 1917 à Pointe-Gatineau à l'âge de 77 ans.



Ascendance patrilinéaire de Marie-Claire Delorme alias Claircée Séguin

I
Marie-Claire Delorme
alias Claircée Séguin
II
Augustin Lemai
5 octobre 1835
Sainte-Madeleine de Rigaud
Angèle Rochbrune
III
Pierre Rocbrune
31 janvier 1814
Saint-Eustache
Marie Amable Vaillancour
IV
Barthellemi Vaillancour
3 juillet 1781
Saint-Louis-de-France
de Terrebonne
Marie Labelle
V
Joseph Labelle
11 janvier 1745
de la Visitation de la
Bienheureuse-Vierge-Marie
du Sault-au-Récollet
Marie-Joseph Leblanc
VI
Charles Leblanc
5 novembre 1709
Saint-Charles-Borromée
de Charlesbourg
Sussanne Bon
VII
Pierre Bon dit Lacombe
vers 1671
 
Michelle Duval
(fille du roi)
 

Sources :
Registres paroissiaux.
Recensements du Canada.
Généalogie des Français d'Amérique du Nord, version 2010 de Denis Beauregard.
CARRIÈRE, Suzane. « Les origines d'Antoine Bélanger/Baker époux de Sara Lemay dit Delorme ». Dans L'Outaouais généalogique, vol. XXXVI, numéro 1, hiver 2014, p. 19.
BRAULT, Lucien. « Histoire de la Pointe-Gatineau 1807 — 1947 », p. 83.