Ascendance matrilinéaire d'Antonio Pelletier


Antonio Pelletier est né le 7 juin 1876 à Saint-Anne-de-la-Pérade. Il épouse Florina Champagne, fille de Joseph Alfred Beaugrand dit Champagne et d'Évangéline Chevrier, le 14 novembre 1904 à Notre-Dame-de-Grâce de Hull. Antonio a fait ses études classiques au collège de Lévis ainsi qu'au séminaire de Nicolet. Il est reçu médecin à l'université Laval de Montréal en 1898. Après son mariage en 1904 le couple s'établit à Saint-Camille par la suite, le couple demeure à Saint-Jean-Deschaillons. En 1908, il étudie à Paris pour perfectionner ses connaissances de la médecine. Au printemps 1910, le couple s'établit à Hull.

Au cours de toute sa vie, Antonio écrit des poèmes et de nombreux textes. Le 10 février 1899, il est élu membre de l'école littéraire de Montréal.

Il a écrit 70 pièces de vers publiées dans Le Monde illustré, Le Journal de Françoise, La Patrie, La presse, etc. En 1903, il fait paraître son premier volume intitulé Cœurs et hommes de cœur. Antonio décède le 28 mai 1917 à Saint-Jean-de-Dieu près de Montréal et est inhumé le 31 mai au cimetière Notre-Dame de Hull.



Ascendance patrilinéaire d'Antonio Pelletier

I
Antonio Pelletier
II
Jacques Pelletier
17 novembre 1874
Notre-Dame-de-la-Victoire de Lévis
Eva Thibodeau
III
Narcisse Tibodeault
28 janvier 1850
Sainte-Croix
Cécila Adélina Methot
IV
Louis Méthote
1er février 1820
Saint-Joseph de Deschambault
Louise Sophie Boudrault
V
Jean Boudro
7 janvier 1777
Sainte-Famille
de Cap-Santé
Marie Joseph Germain
VI
Pierre Germain
16 octobre 1747
Sainte-Famille
de Cap-Santé
Marie Marcot
VII
Jean François Marcot
6 avril 1717
Sainte-Famille
de Cap-Santé
Geneviève Morisset
VIII
Mathurin Mauricet
9 janvier 1690
Saint-François-de-Sale
de Neuville
Elisabeth Quoquin
IX
Pierre Cocquin
12 octobre 1671
Notre-Dame de Québec
Catherine Baudain
(fille du roi)
France
X
Sébastien Beaudin
avant 1651
probablement à Paris,
Île-de-France, 75056
 
Hilaire Ledeslié

Sources :
Registres paroissiaux.
Généalogie des Français d'Amérique du Nord, version 2017 de Denis Beauregard.
Revue Asticou numéro 1, p. 5-13